dimanche 26 mai 2013

Cartes à poster ou à garder...

Trois de mes illustrations sur des cartes (pas seulement) postales... à partager, à offrir à garder ! Un peu de poésie pour prolonger la vie toute bête ?!

Format 10x15cm ; papier 300g/m2 ; vernis brillant ; 100 exemplaires par modèle.

 ...érable rouge...

 ...l'envol des pissenlits...

 ...les chats peignent les étoiles...





mardi 21 mai 2013

Pour les p'tits cousins ou les amis...

Pour les p'tits cousins ou les amis, cadeaux de naissance inspirés au fil des personnalités...
(Cliquer sur les images pour les afficher en plus grand)



 ...pour Clément mon petit Normand (crayons de couleurs)...


 ...pour Mathias, un monde flottant (acrylique)...


...pour Sunna et Iker, renards roux dans les neiges du Nord (crayons de couleurs)...

 
 ...pour Telma qui s'y connait déjà en musique (acrylique et crayons de couleurs)...


 ...pour Stéphanie, (grande) libraire collectionneuse de hérissons (acrylique)...

 ...pour Tidiane, une bèbète en chaussettes (acrylique)...


...pour Rémi, un drôle de Totoro pour les siestes avec Ulysse (acrylique).




mardi 7 mai 2013

Entre thèses ; la solitude du thésard. Exposition

"Qu'est-ce que c'est, d'écrire une thèse en France aujourd'hui ? Et une thèse en arts plastiques ? En quoi consiste réellement le travail de recherche pour des plasticiens ? (...)"
Par ces mots, Beth Anna Hynum, doctorante à Paris 1, a contacté un groupe de doctorants plasticiens à donner leur vision du thésard.
C'est une forme de recul sur notre recherche en elle-même, qui devient tout à coup le sujet d'une exposition collective. Solitude, endurance, volonté, mais aussi passion et plaisir du tissage de ces multiples pistes qui s'ouvrent peu à peu devant nous... Nous sommes vingt artistes-chercheurs, apportant chacun notre ressenti sur ce travail de longue haleine au sein de l'exposition "Entres thèses ; la solitude du thésard".
Une table ronde sera organisée le 18 mai de 10H à 12H. Nous prolongerons cette exposition (et cette nouvelle piste de recherches) par une publication.


L'exposition se tiendra au CP5 du 29 avril au 25 mai 2013
Vernissage le jeudi 9 mai à partir de 18H
Table ronde le samedi 18 mai de 10H à 12H puis
conférence Agora sous la direction de Mr Michel Sicard de 14H à 17H
Visites hors événements sur RDV à cp5@curry-vavart.fr

72 rue Riquet 75018 Paris
métro Riquet ou Max Dormoy



« Labybliothèque » :
Les mots sont des graphes. Les graphes sont des labyrinthes. La recherche est une errance. "Fais ta thèse et débrouille-toi". Solitude au milieu d'une foule, chacun pour soi...
Ce ressenti devient physique lorsque je travaille à la bibliothèque. Prendre le train, lignes de rails, lignes de câbles. Passer par le jardin, lignes d'arbres, lignes des chemins. Arriver, enfin. Livres en enfilade, succession des ouvrages, lignes de perspective. Seule mais noyée dans le nombre. En silence. Horloge, temps : rebrousser chemin et remonter les lignes. Le cheminement de ma recherche se superpose à celui de mon parcours : labybliothèque.

Labybliothèque, collage de photographies en noir et blanc sur support rigide.
Dimensions totales : 80 cm x 80 cm, adaptable à l'espace.

Labybliothèque, détail.


Titre de ma thèse : Instabilité et flottement, possibilité d'un lieu d'immersion.
Le jardin dans la ville, point de départ de ma recherche et de mon interprétation d'un autre jardin : un espace à expérimenter, à parcourir, à voir et à écouter. Ce lieu est composé de tissus suspendus, de lignes de plans et de leurs ombres. Cheminements physique, visuel et sonore, le parcours relève du labyrinthe et joue avec l'idée de perte. Les images et les sons sont lacunaires, à peine dits et en transformation constante. Ils induisent une incomplétude, relevant par-là même d’une notion d’inaccessibilité en l’état.
L’un de mes enjeux consiste à établir un dialogue, ou plus exactement à proposer une narration au visiteur, qui n’existera que si celui-ci accepte d’y entrer. L’interprétation ouvre une multitude de vérités, relatives à chaque individu. Entre-deux, intervalles et non-dit créent un lieu de tous les possibles. Le jardin devient acte social et permet d'interroger notre façon d'habiter la ville : peut-on "être dans" ? 
 
Voulez-vous entrer dans mon jardin... Quatre photographies de l'installation.
Tissu, papiers, sérigraphies, projections de vidéo et de photo, bandes sonores. Taille adaptable à l'espace.

http://entretheses.blogspot.fr/p/presentation.html